. Stuttgart.-tubingen, , vol.1832, p.382

, Libanioe (qui donne deux exemples) Progymnasmata, p, pp.391-396, 1915.

L. Grégoire-de-naziance, . Passion, .. A. Christ, and . Tuilier, Sources Chrétiennes 149, 1969. L'auteur de la tragédie chrétienne emprunte sans discrimination aux lamentations d'Hécube, de Médée, ou même d'Agavé pleurant sur le corps de Penthée

. Citons and . Le-kontakion-de-romanos-le-mélode, VIème s.) Marie pres de la croix, et le Mariae Plonctus de Syméon Métsphraste (Xème s.l. D'autres références sont fournies par M. Alexiou dans The Ritual Lament in Greek Tradition, 1974.

, Niceforo Basüace. Progimnasmi e monodie, éd. A. Pignani, Naples, vol.12, pp.169-180, 1983.

P. Gautier, Le typikon de la Théotokos Evergétis, Innovations apportées par ce typikon : 1) l'élaboration de la liturgie du Vendredi et du Samedi Saints, vol.40, pp.5-101, 1982.

, la pompe toute particulière accordée aux tlItes de la Dormition: ·Ce sera la tlIte des tlItes et la solennité des 801emùtés

E. Patlagean, Pleurer à Byzance, La souffrance aU Moyen Age, Les Cahiers de Varsovie, pp.251-261, 1988.

. Le-culte-de-la, Vierge a connu la même promotion en Occident au XIlème siècle -comme en témoigne notamment la fondation de l'ordre des Cisterciens, premier ordre voué à Marie; cf E. Male, L'art reU-giewcduXIlème s~cle en France, 1922.

&. E. Remarque-d, . Patlagean-dans-&quot;l&apos;histoire-de-la-femme-déguisée-en-moine, and . Et-l&apos;évolution-de-la-sainteté-féminine-À-byzance, Les épreuves du mariage, les contraintes et les soucis de l'éducation des enfants < ne furent nullement un obstacle pour elle >, elle y trouva une occasion d'acquérir de la gloire, La fin de la VU1 associe explicitement la figure de la sainte à celle de la Vierge intercédant pour les hommes, vol.17, p.705, 1925.

, 4 -texte mentionné par J. Groedidier de Matons in, AJexiade III, vol.6

T. Prodrome, R. Et-dosiclès--Éd, and .. R. Hercher, Erotici Scriptores Graeci, Leipzig, 1869, t. II, pp.287-434

, 4 : q,1Àol . . lTlt'WP ~' èyw. 1<(Xt n~6; t'nv ~TJ1ip(X 1<(x\ 1<r1~O~at t'fic; /lTJt'p6ç). Fantaisie d'érudit soucieux de dépayser son public de lecteurs orthodoxes? Simple trait d'esprit? Peutêtre, je l'honore et lui rends tous les devoirs, vol.22

*. ,

, Sur un point, tous nos textes sont bien d'accord: ils font pareillement ressortir la puissance de la mère, puissance d'ordre essentiellement moral et affectif, puissance peutêtre, d'ailleurs, plus fantasmée qu'effective -encore que dans le domaine du droit et des pouvoirs réels, la mère byzantine apparaisse relativement favorisée par rapport à ses contemporaines d'autres pays. Mais cette puissance maternelle est perçue et évoquée de façon violemment contradictoire: elle apparaît tantôt génératrice d'angoisse, tantôt source de tous les biens, Ainsi viennent s'entrelacer modèles antiques et modèles chrétiens, dans le discours que les Byzantins tiennent sur les mères

, Frau" in Lexikon des Mittelalters IV, issue.4, pp.852-875, 1983.

-. , La situation juridique de la femme à Byzance

, 2) Le statut de la femme à Byzance (4ème -7ème siècles) -1 : Le droit impérial, Histoire mondiale de la femme (éd. P. Grimal), t. III, pp.11-43, 1974.

-. Herrin, In search of byzantine women : three avenues of approach, Images ofwomen in Antiquity (éd. A Cameron), pp.167-189, 1983.

-. E. Laiou, The role of women in byzantine society, JOB, vol.31, issue.1, pp.233-260, 1981.