.. P. Cf and . Magdalino, The Empire of Manuel i Komnenos, p.365, 1993.

.. P. Cf and . Magdalino, « The Literary Perception of Everyday Life in Byzantium. Some General Considerations and the Case of, John Apokaukos, vol.48, p.31, 1987.

. Cf and . Ep, Grégoras parle de «fréquentes douleurs » qui « mènent une danse furieuse dans sa tête, Paris, Les Belles Lettres (CUF), vol.48, p.152, 1967.

R. Opuscule and . Guilland, Essai sur Nicéphore Grégoras. L'homme et l'oeuvre, p.170, 1926.

.. A. Cf and . Boulanger, On pourrait leur adjoindre Démétrios Cydonès qui, dans une de ses lettres, mentionne Aristide aux côtés de Libanios, Basile et Grégoire de Nazianze, comme arbitre en matière de discours, au nombre des lecteurs assidus d'Aristide, vol.46, p.119, 1930.

.. A. Cf and . Boulanger, Aelius Aristide?, p.457

, xv e -xvi e siècles ; les Discours sacrés figurent notamment dans le plus ancien des manuscrits d'Aristide, le Laurentianus pl. lx, 3, codex copié dans il dit que depuis deux semaines, il reste sans dormir, sans manger, en proie aux souffrances, allongé sur le dos, « ne pouvant se tourner ni vers la droite ni vers la gauche » ; ses douleurs se sont tellement accrues que la lumière a quitté ses yeux ; sa force est devenue pareille à un fil qu'une fileuse s'apprête à couper, ses os sont comme du menu bois ; les organes de la parole en lui restent inertes ; sa voix est faible, son souffle léger, ses paroles brèves, Parmi les quelque deux cent cinquante manuscrits comprenant des discours d'Aristide, plus d'une trentaine contiennent le texte des Discours sacrés -dont cinq manuscrits des x e -xii e siècles, dix-neuf manuscrits des xiii e -xiv e siècles, neuf manuscrits des

, où notre auteur, se déclarant consumé de maladies, évoque successivement les bourdonnements d'oreilles dont il est affligé, puis ses calculs urinaires et sa podagre : «Mon oreille gauche, depuis déjà deux ans, résonne d'un son grave et ininterrompu; j'ai peine à entendre au moyen de cet organe, et le bruit qui se fait en moi m'irrite ; mais si par hasard, de la main, je me bouche l'oreille droite, ou si je l'obstrue avec le doigt, comme Ulysse autrefois boucha avec de la cire les oreilles de ses compagnons, lorsqu'ils naviguaient dans le parage des Sirènes, je reste pareil aux statues, non plus dur d'oreilles, mais complètement sourd, La lettre sans doute la plus caractéristique de la complaisance avec laquelle Apokaukos s'étend sur ses misères physiques est une lettre adressée à l'évêque d'Athènes, Michel Choniatès (Vass., n? 10)

, lorsqu'elles tombent dans le canal urétral et exercent une pression sur le conduit, dans leur effort [pour sortir], me causent une sensation de douleur insupportable ; parfois, du fait de sa taille, l'une d'entre elles bouche l'orifice de l'urètre et empêche toute émission -ce qui entraîne une irritation du conduit ; et bientôt [la pierre] est rejetée à terre, et j'ai sous les yeux [l'image] de la mort » ; A. se décrit en outre « rongé d'ulcères », « fardeau détesté » de son lit, et conclut : « Quant à ma podagre, il est superflu d'en parler, sinon pour dire que, fondant sur moi, elle aussi, à l'occasion, A. s'attarde à décrire les différents types de pierres qu'il lui arrive d'expulser : « des pierres parfois grosses, de la taille d'un pois chiche, et -c'est le plus pénible -de formes diverses : car elles sont polygonales, triangulaires ou quadrangulaires, et ces pierres aux formes multiples

U. De-la-journée,-c'est-À-dire-À-midi-précise, Et comme je m'étais allongé sur mon lit et étais déjà en train de m'endormir, le liquide qui se trouvait dans mon estomac, débordant soudain et formant comme un reflux, obstrua les conduits des organes de la respiration ; aussitôt, tout en désordre, je bondis hors de mon lit et descendis en courant, à une vitesse incroyable, l'escalier de ma maison, sans même l'avoir voulu, puis montai l'escalier de la maison voisine où, par chance, se trouvait alors le brave Kaloeidas. Lourdement, je tombe à ses genoux, inspirant au bonhomme une grande stupéfaction à me voir ainsi pieds nus et comme hors de moi. À grand-peine, cependant, je parvins à reprendre mon souffle, les voies respiratoires s'étant dégagées ; mais je crois que si je n'avais pas, en tombant aux genoux de cet homme, (re)déclenché la respiration, je serais mort, la Nécessité ne me permettant pas de vivre davantage

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