. Altisent-agustí, « Una comunitat femenina a Vimbodí depenent de Poblet », I Co?loqui d'Història del Monaquisme català, Arxiu bibliogràfic, vol.2, pp.7-14, 1969.

, Ce projet est mentionné dans deux actes de 1164 et 1174 (BnF, latin 11008, n os 65 et 145, signalé par BERMAN C, vol.114, p.295, 2000.

D. Rouquette, Mélanges à la mémoire du Père Anselme Dimier, vol.6, p.697, 1982.

. Moreau-m, , p.48, 1988.

. De-becdelievre-véronique, Combien de temps les religieuses se maintinrent-elles aux Olieux-de-Montséret ? En tout cas, elles ne sont pas mentionnées dans les actes ultérieurs concernant cette église (ibid, vol.673, pp.1083-1146, 2009.

, La juridiction de Mazan sur les moniales n'a pas laissé de document avant le XV e siècle, mais elle était alors bien établie (BESSON Charles, « Moniales cisterciennes en Gévaudan et en Velay. Les abbayes de Mercoire, pp.133-156, 2003.

, On ignore quand et selon quelles modalités elle passa sous la juridiction de Mazan (BOUVARD Emma, Empreintes monastiques en moyenne montagne du XII e siècle à l'Actuel. Archéologie des espaces et des paysages cisterciens dans les anciens diocèses de Clermont et du Puy, thèse de doctorat sous la dir. de Nicolas Reveyron et Bruno Phalip, L'existence d'une communauté de moniales à Bellecombe est attestée dès 1021/1028, pp.356-357, 2016.

. Dimier-anselme, « Fonts-lès-Alès », Dictionnaire d'Histoire et de Géographie ecclésiastiques, vol.17, p.990, 1971.

«. Andre-ferdinand and . L'abbaye-de-mercoire, Ordre de Cîteaux », Annuaire administratif, statistique, historique & agricole du département de la Lozère, vol.37, p.5, 1868.

E. Guillaume, Avène, testa en faveur de Silvanès et légua en particulier 50 sous pour que les moines fassent de sa fille Sybille une moniale de Nonenque ; dans le cas où le prieuré serait trop pauvre, ils devraient lui procurer si nécessaire de la nourriture et des vêtements, En juillet 1182, vol.496, 1910.

V. De-becdelievre, , vol.125, pp.445-673, 2009.

. De-laville, , pp.152-155, 1884.

. Le-gévaudan, Par la suite, des confréries permirent aux laïcs d'être associés aux établissements réguliers ayant pris la place de groupements érémitiques ou charismatiques plus ouverts : une lettre encyclique publiée le 31 août 1211 par Raymond III d'Uzès, agissant comme légat pontifical, pour solliciter des dons pour la restauration des édifices du Vignogoul, trop petits et menaçant ruine, invita les fidèles à s'agréger à une confrérie spéciale établie dans ce but par l'évêque de Maguelone, p.56, 1868.

. Foreville-raymonde and . Gillian, Ce point semble avoir souvent été le cas s'agissant des communautés féminines, comme le montre en Angleterre l'exemple de Sempringham, p.p. XIX, 1987.

. De-laville, , p.277, 1884.

. Moreau-m, propose aussi de voir une communauté éphémère qui aurait été absorbée par Saint-Félix-de-Montceau dans le prieuré Saint-Aubin, dont l'existence n'est attestée que par une bulle d'Alexandre III du 22 juin 1162 conservé dans le fonds de Saint-Félix, p.47, 1988.

, Reiseberichte zur Gallia Pontificia, Cité du Vatican, Biblioteca Apostolica Vaticana, vol.55, 1906.

C. Couderc and R. , , p.35, 1950.

. Wiederhold-w, , vol.79, 1985.

. Hollier-É, , pp.9-10, 1925.

, Il est toutefois possible que ce manuscrit soit arrivé à Saint-Félix en 1247 ou peu après

. Wiederhold-w, Saint-Geniès a cependant toujours été regardé comme bénédictin, ce qui incite à penser que la réforme menée par Jean de Montlaur à Saint-Félix, vol.75, 1985.

. Hollier-É, , p.7, 1925.

. Wiederhold-w, , p.53, 1985.

J. Segondy, , p.26, 1937.

. De-laville, Notons encore que le seul acte connu concernant Notre-Dame-de-Beaulieu, par lequel une certaine Laurette reçut en 1211 l'église, vol.146, p.56, 1884.

. Caby-cécile, Les Cisterciens et les îles : variations autour de deux affaires provençales de la fin du XII e siècle », CODOU Yann, LAUWERS Michel (éd.), Lérins, une île sainte de l'Antiquité au Moyen Âge, pp.335-350, 2009.

A. Martin, Les Cisterciennes et leurs protecteurs en Provence rhodanienne, vol.21, pp.235-267, 1986.

À. La-différence-du-vignogoul-ou-de-valsauve, Dans un ajout à ce catalogue figurent aussi l'abbaye d'Alès, ville où Notre-Dame-des-Fonts fut transférée entre 1356 et 1367, ainsi que Notre-Dame-des-Plans sur la rive gauche du Rhône (ibid, p.183

, L'implication de Valmagne dans les affaires de Mollègès tend à prouver que l'abbaye languedocienne était souvent chargée par l'abbé de Cîteaux de représenter ses intérêts dans le Midi

A. Martì, Le monastère cistercien de Mollégès et la famille Porcelet au XIII e siècle, vol.33, pp.273-275, 1983.

, En 1310, l'abbé de Valmagne consentit à la vente par l'abbesse d'une maison dont elle avait héritée (ibid., p. 91) et en 1325 trois moines assistèrent à la profession d'une donate (ibid, p.113

, Joyeuse se fit représenter une fois par son neveu, Raymond de Séverac, ce qui laisse penser qu'elle vint en Languedoc avec une partie de son entourage, pp.80-82

C. Couderc and R. , Aiceline était moniale depuis au moins 1246 (ibid., n° 69) et une de ses parentes portant le même nom mais plus âgée était déjà religieuse dix ans plus tôt (ibid, vol.79, 1950.

. Hollier-É, , pp.13-16, 1925.

C. , De quelle communauté féminine s'agissait-il ? De Notre-Dame-de-Garrigue près de Salses, attesté en avril 1195 et janvier 1366 (BnF, Doat 70, fol. 257-262 v ) ? Toutefois, ces deux documents se rapportent à un prieuré d'hommes ; ils n'indiquent pas non plus que ce prieuré appartenait à Villelongue, p.70, 1933.

, En 1265, l'abbé de Villelongue se présenta comme le père immédiat, tuteur et dispensateur » de Rieunette. Des moines de Villelongue furent mentionnés comme procureurs des abbesses en 1294, 1301, 1337 et 1431. On connaît par une analyse le procès-verbal de la visite régulière du 11 juillet, Ce fait est attesté depuis 1190, pp.94-96, 1992.

. Chauvin-b, , p.96, 1992.

C. Couderc and R. , , p.p. XV, 1950.

. Ibid, Un convers de Silvanès fut témoin de l'acte de fondation du prieuré de Nonenque à Saint-Sulpice-de-la-Pointe en septembre 1267 (ibid, vol.88

. Ibid, . Pp, and . Xvi-xviii-et-n-os, Un accord du 13 avril 1303 eut pour témoin un moine de Mazan et un de Silvanès ; le 15 avril, l'abbé de Silvanès nomma les procureurs de Nonenque et il procéda à la visite de sa « fille » le 28 juillet suivant (ibid, pp.102-107

. Ibid, Le document fait encore référence aux événements qui avaient secoué l'abbaye peu avant, puisqu'il ordonne de chasser les moniales, donats et demoiselles rebelles. Pour Rieunette, on conserve une analyse de la « carte de visite, Dans les régions environnantes, les premiers procès-verbaux de visite conservés datent de la même époque : 1306 et 1307 pour Le Bouchet en, p.96

. Tricastin, 1339 pour L'Eule (Gallia christiana, 6, 1739, Instrumenta, col. 491), 1350 et 1351 pour Valnègre dans le comté de Foix (BnF, Doat 86, fol. 88-89 et 64-65 v ), 1953.

. Hollier-É, , p.700, 1925.

. Ibid, , pp.130-133

, après avoir surmonté ses réticences -la supérieure disait dépendre directement de l'abbé de Cîteaux, mais Edme put la convaincre en lui présentant ses lettres de commission. Il loua l'humilité et la bonne volonté des religieuses, mais s'étonna malgré tout de leur ignorance des usages de l'ordre : elles ne portaient pas de scapulaire mais un vêtement noir 108 . En fait, cette situation n'avait rien de surprenant : d'une part, l'ordre n'était jamais parvenu à unifier l'habit de ses moniales et, en 1486, l'abbé de Candeil, procédant à la visite du Vignogoul, avait tenté d'imposer l'habit blanc et le scapulaire noir à des novices intégralement vêtues de noir (non sans leur extorquer une grande somme d'argent) 109 ; d'autre part, Valsauve n'avait en fait jamais été incorporé formellement à l'ordre cistercien 110 . De façon à peu près certaine, les usages des moines blancs n'avaient servi que de simple référence aux évêques d'Uzès pour procéder à l'institutionnalisation de la communauté au XIII e siècle, sans pour autant qu'ils les fassent tous appliquer

. Il, trois phénomènes étaient venus perturber encore davantage les frontières institutionnelles entre établissements monastiques. D'une part, il conviendrait d'étudier l'impact de l'implantation de la papauté en Avignon sur le monde des réguliers méridionaux. D'autre part, le Languedoc se distingue de la France du Nord par la précocité de deux phénomènes : l'installation définitive en ville

C. Certes and C. , Morimond ou encore Fontenay trouvèrent un moyen relativement aisé pour rétablir leurs patrimoines malmenés par les crises en tentant -souvent avec succès -de procéder à la suppression pure et simple de leurs abbayes-filles les plus affaiblies par les guerres et les épidémies pour en annexer les temporels 112, pp.122-125

J. Segondy, De façon significative, l'abbesse, absente pendant la visite à cause d'une épidémie, fit appel des décisions du visiteur devant l'official de Maguelone le 2 octobre 1486 ; la suite de l'affaire est inconnue, mais Edme de Saulieu ne trouva rien à redire au sujet du Vignogoul, ce qui prouve que les moniales avaient changé d'habit entretemps. L'appel interjeté en 1486 prouve toutefois que l'exemple de Saint-Félix devait inciter les moniales du Vignogoul, pourtant formellement intégrées à l'ordre, à faire appel à l'ordinaire lorsque les décisions des cisterciens ne leur convenaient pas, vol.67, p.165, 1937.

, Dans son testament de 1402, le cardinal de La Grange regarda Valsauve comme membre de l'ordre de saint Benoît, p.296, 1884.

, ) et L'Eule à Perpignan (DIMIER Anselme, « Eule (L') », Dictionnaire d'Histoire et de Géographie ecclésiastiques, vol.15, pp.116-118, 1925.

, Un bel exemple est fourni par l'annexion de Vauxbons (diocèse de Langres) par Auberive : CHAUVIN Benoît, Vauxbons, abbaye cistercienne au diocèse de Langres (?1175-1394?). Étude historique et édition du chartrier, pp.57-61, 2005.

, Pour leur part, l'épiscopat et la papauté préférèrent favoriser des fusions entre communautés féminines, pour tenir compte de l'effondrement de leur population due aux épidémies et à une insécurité persistante 115 , effondrement qui, dans le cas des cisterciennes du Languedoc, avait été précédé par un tassement des vocations sensible dès la fin du XIII e siècle, très certainement à cause de la concurrences des ordres Mendiants 116 . Or les autorités ecclésiastiques procédèrent à ces fusions sans toujours tenir compte des observances 117 . Il était logique que Les Angostrines soient absorbés par Valsauve, puisque ces deux maisons appartenaient à l'évêque d'Uzès, observaient des usages inspirés par les cisterciens et avaient deux membres de la même famille (les Maurel) comme supérieures 118 . En revanche, la fusion entre les cisterciennes de Notre-Dame-des-Fonts, réfugiées à Alès, Languedoc, cette procédure rencontra de très grandes résistances 113 : Villelongue mit près d'un siècle (1431-1528) pour obtenir la dissolution à son profit de Rieunette, dont les moniales avaient reçu le soutien des abbés de Fontfroide 114

L. Sur-la-rive-gauche-du-rhône and . Bouchet, Bouchet en Tricastin

. Aiguebelle, Dans le comté de Foix, les dernières moniales de Valnègre acceptèrent de vendre leurs biens meubles à Boulbonne en octobre 1443 (BnF, Doat 86, fol. 280-286 v ). En Roussillon, Santes Creus réduisit L'Eule en prieuré masculin, pp.39-40, 1979.

«. Fort-i-cogul-eufemià, . Notícies-sobre-santa-maria-de-l'eula, and . Priorat-perpinyanenc-de-santes-creus, II Co?loqui d'Història del Monaquisme català, 2, Poblet, Abadia de Poblet, pp.316-317, 1974.

, En 1427, très certainement sur son initiative, l'abbé de Fontfroide fut chargé par le chapitre général d'une enquête pour savoir qui était l'abbé-père de Rieunette ; le même chapitre dénonça les abus commis par l'abbé de Villelongue. Dès 1431, ce dernier considérait Rieunette comme un prieuré dépendant de son monastère, De même, si l'abbé de Clairvaux, p.700, 1992.

J. Segondy, Un acte de la Chambre apostolique du 27 août 1485 signale aussi que Le Vignogoul avait été pillé récemment, En plus des exactions opérées par les grandes compagnies au XIV e siècle, il faut citer le banditisme endémique dans le Languedoc de la seconde moitié du XV e siècle : un conflit entre l'abbesse de Saint-Félix-de-Montceau et un prêtre indélicat nommé Firmin Baldit au sujet du prieuré Saint-Bauzille (1453-1492) dégénéra dans les années 1470 en une véritable guerre privée qui fit au moins un mort (HOLLIER É, p.163, 1925.

. Voir-le-tableau-en-annexe, On remarquera en particulier que Le Vignogoul n'atteignit probablement la quarantaine de religieuses qu'au milieu du XIII e siècle, bien loin des 50 professes et des 15 novices présentes à Mercoire dans le Gévaudan en 1272. La hausse continue du nombre de moniales à Nonenque jusqu'à l'arrivée de la peste noire montre aussi qu'à la différence de leurs consoeurs de la plaine languedocienne tôt concurrencées par les clarisses et les dominicaines

, La circulation des cadres ignorait aussi désormais en grande partie les frontières entre ordres : le 8 août 1457, un délégué du cardinal-légat d'Avignon investit de la charge de prieure de Saint-Félix une dominicaine de Montpellier, Marie de Ports, qui revêtit l'habit cistercien le lendemain, avant de faire son entrée à Gigean deux semaines plus tard, p.88, 1925.

. De-laville, , p.170, 1884.

. ;. Dimier-a and . Besson-c, De son côté, pour satisfaire les ambitions du frère de la prieure, Saint-Félix-de-Montceau mit la main sur Saint-Léon-de-Montmel vers 1430, alors qu'il avait décidé dans un premier temps, fort logiquement, de fusionner ce prieuré avec les augustines montpelliéraines de Saint-Gilles, pp.71-73, 1925.

. Vignogoul, Elles avaient manifestement le soutien de l'abbesse Marguerite d'Aramon, qui n'avait plus sous sa direction théorique qu'une seule moniale, en fait absente, et qui elle ses jours chez les « Prouillanes ». Mais cette décision suscita peut-être une intervention de Cîteaux et, en tout cas, de Valmagne : une nouvelle supérieure, Marguerite de Panat, vint s'installer au Vignoul avec quelques moniales. Le 30 septembre 1446, soutenues entre autres par l'abbé de Valmagne et par le seigneur d'Alès

, dont la dépendance originelle à l'égard des cisterciens ne peut faire aucun doute, à une date bien antérieure au moment où le chapitre général commença à légiférer sur les moniales ; de l'autre, des communautés comme Valsauve, réputées cisterciennes, mais dont la juridiction relevait en principe exclusivement de l'évêque diocésain ; entre les deux, Saint-Félix-de-Montceau ou Le Vignogoul, enjeux de litiges séculaires entre l'ordre et l'ordinaire, avec des issues opposées. Le sud de la France dément donc clairement l'affirmation selon laquelle les moines blancs auraient longtemps rejeté la cura monialium et ne s'y serait résignés que contraints et forcés. La situation institutionnelle des moniales cisterciennes languedociennes apparaît très proche de celle qu'a observée Guido Cariboni dans la plaine du Pô et qu'il a qualifiée d'« anomalie juridico-institutionnelle 121 ». Une telle expression est justifiée si l'on adopte comme référence le droit cistercien du XIII e siècle, mais, en plus du fait qu'elle tend implicitement à déprécier le monachisme féminin, Le Languedoc et les principautés voisines, comme beaucoup d'autres régions méditerranéennes, ont longtemps été négligé par les spécialistes de l'ordre de Cîteaux, tant leurs caractéristiques s'écartaient des schémas historiographiques dominants. D'un côté, des monastères féminins, comme Rieunette ou Nonenque

J. Segondy, L'origine alésienne de la nouvelle abbesse permet de supposer qu, pp.139-143, 1937.

;. Cariboni-guido and . Rinaldo, Voir aussi du même auteur « Il monachesimo femminile cistercense : ipotesi per la lettura di una complessa realtà istituzionale », FONSECA Cosimo Damiano (éd, Il monachesimo cistercense femminile in Lombardia e in Emilia nel XIII secolo. Una anomalia giuridico istuzionale, vol.1, pp.53-74, 1999.

, placées sous la juridiction de l'ordinaire et installées en ville, si cette expression ne tendait pas à exagérer le rôle de Bernard de Clairvaux 122

, Or ces deux tendances qui ne permettent guère de prendre en compte les dynamiques historiques. L'identité cistercienne est pour beaucoup de nos contemporains une sorte de chimère forgée d'éléments divers assemblés avec le plus grand mépris pour la chronologie : les écrits de saint Bernard (trop souvent réduits à quelques extraits de l'Apologie), les abbatiales (souvent bien plus tardives) dénudées chères à Fernand Pouillon et Georges Duby, l'économie de granges des années 1180-1250 décrite par Robert Fossier et Charles Higounet, De telles réalités ont été et restent largement impensables pour une historiographie cistercienne hantée par l'opposition entre pureté des origines et décadence et marquée par un juridisme exacerbé

, Il en a résulté un édifice abstrait et creux qui, évidemment, s'est retrouvé facilement exposé aux flèches des courants hypercritiques, qu'ils émanent de la tradition positiviste ou du Linguistic Turn. Pour que l'histoire des institutions cisterciennes retrouve de la consistance

A. Grélois, GRHis

, Annexe Données sur le nombre de religieuses chez les cisterciennes du Languedoc et des environs 123

. Leclercq-jean, Pourquoi pas ? Mais les guillemets peuvent avoir une connotation péjorative et cela revient à créer une nouvelle catégorie étanche qui risque d'obscurcir encore davantage les dynamiques institutionnelles, Certains auteurs ont proposé de distinguer les cisterciennes, formellement incorporées, des « cisterciennes » vivant « selon les coutumes et la spiritualité cisterciennes sans être juridiquement, formellement et officiellement affiliées à l'Ordre, vol.32, pp.84-86, 1988.

:. Sources, , vol.27, pp.136-137, 1925.

. Cocheril-m, , vol.1, pp.130-133, 1970.

C. De-laville-;-couderc and R. , , vol.194, p.passim, 1884.

A. F. , 50 moniales et 15 novices en 1272) et 15. 1453 : 9 1493 : 5 1428 : 7 1430 : 4 1437 : 2 1532 : 6 fin XIV e, 1868.

, En romain : nombre de religieuses nommées dans un acte notarié (pas nécessairement de façon exhaustive

, Souligné : nombre maximal de religieuses fixé par une autorité