, 1142 : d'une part, c'est le seul acte de Milon de Bar-sur-Seine qui soit dépourvu d'eschatocole, comme si l'on avait souhaité faire disparaître la liste de témoins ; d'autre part, l'accent mis sur le faire-valoir direct et l'interdiction faite aux moniales de posséder « des serviteurs, des servantes

E. Maria and W. Marcigny-sur-loire, Gründungs-und Frühgeschichte des ersten Cluniacenserinnenpriorates (1055-1155), vol.42, 1986.

J. Jobin, , pp.25-27

V. Laurent and L. Relations?, , pp.59-70

A. Pour-une-chronologie-révisée-de-sa-vie, . Grelois, and . Humbeline-héloïse?, Contrairement à une légende tenace, p.332

J. Jobin, , pp.192-193

C. Benoît, . Le, and . Petit-cartulaire-de-l'abbaye-de-buillon, , pp.547-590

;. P. Quia, C. Verdeyen, . Vande, and . Veire, uxores quoque cum uiris idem uotum sacrae conuersationis inierant, p.47

, Bernard fut témoin avec son frère Gérard de l'entrée en religion de leur tante Aanolz ; en 1136 il donna au prieuré une maison à Bar-sur-Aube, avec ses frères Gérard et Guy pour témoins, pp.212-213

, 1257-1270, aux col. 1264-1265. Éditée par deux manuscrits provenant de monastères claravalliens et d'une tonalité nettement hostile à Molesmes, cette vita constitue un témoignage supplémentaire sur les liens entre les cisterciens, Vita beati Petri prioris Julliacensis, dans Patrologia latina?, t. 185, col

, La communauté à laquelle appartenait cette religieuse n'est pas nommée. Voir aussi les lettres 114 et 115 adressées à deux autres moniales (la seconde de Notre-Dame-aux-Nonnains de Troyes) pour les inciter à persévérer dans leur vocation, pp.291-295

, Après la mort de Bernard, Aelred de Rievaulx fut chargé d'enquêter sur la triste affaire de Watton un prieuré double de l'ordre de Sempringham (Giles CONSTABLE, « Aelred of Rielvaux and the Nuns of Watton : an Episode in the Early History of the Gilbertine Order, Sources chrétiennes, issue.1, pp.205-226, 1988.

G. Brian, G. Sempringham, G. The, and . Order, , pp.34-38, 1995.

P. Burton and «. Aelred-de-rievaulx, un vulgaire paparazzo ou un subtil théologien ? Introduction au récit d'Aelred À propos d'un miracle étonnant ou La moniale de Watton », dans Cîteaux -commentarii cistercienses, t. 62, pp.59-118, 2011.

, Lettre 254 (ibid, p.156

, Die Prämonstratenser und ihr weiblicher Zweig », dans Studien zur Prämonstratenserorden, Irene CRUSIUS et Helmut FLACHENECKER (éd.), pp.75-105, 2003.

M. Stefano, . Gossuinus's-vitae-of-emelina, ». Ascelina, C. Dans, and . Cistercienses, Selon Gossuin, ce serait à leur demande que les deux femmes seraient passées à Poulangy ; toutefois, la suite de leur histoire permet d'en douter fortement, vol.62, p.52, 2011.

A. Grelois, ». Humbeline-héloïse?, and O. , -245) et adopta une grande partie de la liturgie d'Étienne Harding (Chrysogonus WADDELL, The Old French Paraclete Ordinary and the Paraclete Breviary, Même après avoir fait condamner Abélard, vol.5, pp.3-7, 1983.

J. Leclercq and H. Rochais, , p.190

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S. Mula, Selon Gossuin, Bernard serait apparu à Asceline pour l'avertir de sa mort, p.53

C. Benoît and . Beaucharmoy, communauté féminine inconnue dans le sillage de Morimond (1180-1185 ?), dans Morimond et son Empire, pp.115-123, 1994.

B. Chauvin and «. , , pp.202-203

W. Chrysogonus, Si ce statut prohibait absolument la présence de ces femmes, les codifications de 1237 et 1257 tolérèrent leur présence dans les pays où les convers se refusaient absolument à traite, à condition qu'elles restent en dehors des granges (Bernard LUCET, Les codifications cisterciennes de 1237 et de 1257, Twelfth-Century Statutes from the Cistercian General Chapter, vol.58, p.231, 1977.

G. Bruno and . Eine-ungedruckte, angeblich von Cistercienseräbten verfassten Inklusenregel », dans Analecta Sacri Ordinis Cisterciensis, pp.81-93, 1949.

S. Mula, Les liens entre Asceline et Philippe de Cologne sont confirmés par une lettre de Guibert de Gembloux, par ailleurs secrétaire puis hagiographe d'Hildegarde de Bingen ; on trouve également cinq exempla relatifs à Asceline chez Césaire de Heisterbach (ibid, pp.45-46

J. Leclercq and H. Rochais, Lettre, vol.366, issue.2, p.323

K. Monika and . Vita-sanctae-hildegardis, Corpus Christianorum. Continuatio mediaevallis, 126), pp.9-10, 1993.

L. Fait-est-rapporté-par, A. Des-trois-fontaines, and C. , Le même auteur célèbre la naissance de la prophétesse qu'il regarde comme une sainte (ibid, Monumenta Germaniae historica. Scriptores, t. 23, Hanovre, 1874, p.812

H. De-bingen, Triginta octo quaestionum solutiones, dans Patrologia latina?, pp.1037-1054

L. Jean, . Odon-de, and . Soissons, , pp.628-631, 1982.

R. Hiltrud, . Hildegard-von-bingen-an-elisabeth-von, and . St, Thomas an der Kyll. Die heilige Hildegard und die frühesten deutschen Zisterzienserinnen », dans Cîteaux -commentarii cistercienses, t. 41, pp.5-42, 1990.

C. Benoît and . Hildegarde-de-bingen, Il est intéressant de noter qu'Hildegarde incita ses interlocutrices cisterciennes à ne pas faire preuve d, vol.46, pp.159-165, 1995.

L. Olivier, L'identification des reliques des Onze Mille Vierges par Élisabeth de Schönau en 1156 est aussi mentionné par AUBRY DES TROIS-FONTAINES, Collectaneum exemplorum et visionum clarevalense e codice Trecensi 946, Turnhout, 2005 (Corpus Christianorum. Continuatio Mediaevalis, 208), p.843

L. Jean and . Lettres, Odon d'Ourscamp, cardinal cistercien », dans Studia Anselmiana, vol.37, p.149, 1955.

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. Lester, Creating Cistercian Nuns. The Women's Religious Movement and Its Reform in Thirteenth-Century Champagne, pp.28-33, 2011.

. Ibid, à noter toutefois que les localisations figurant sur la carte p. 20 correspondent souvent à la période posttridentine et

F. Winter and C. Joseph-marie, Cette liste ne mentionne pas la communauté de Steinmünster, affiliée à Clairvaux par le chapitre général en 1293, vol.12, pp.1052-1053, 1953.

, « Cronica Villariensis monasterii », dans Monumenta Germaniae Historica. Scriptores, t. 25, Hanovre, 1880, p.199

D. E. Roger and . Ganck, Marginalia to Visitation Cards for Cistercian Nuns in Belgium », dans Cîteauxcommentarii cistercienses, t. 40, p.228, 1989.

, Aulne se chargeait des visites régulières (Jean-François ANGENOT, « La Paix-Dieu, étude sur la formation et l'évolution du domaine d'une abbaye cistercienne féminine en Hesbaye (XIII e -XV e s.) » dans, Autre exemple : l'abbaye de La Paix-Dieu était placée sous la juridiction de Clairvaux mais l'abbé d, vol.34, p.47, 1980.

É. Hautcoeur, , pp.65-66

A. Lester, , pp.203-204

, En 1300, ces moniales installées à la source de la Somme étaient en conflit avec le chapitre de Saint-Quentin qui refusaient de reconnaître les acquisitions faites par elles dans sa seigneurie, p.79

. Bnf, En août 1304, celui-ci se rendit à Fervaques avec ses co-abbés de Foigny et de Trois-Fontaines pour faire les comptes de la maison ; il approuva à cette occasion l'échange de terrages et de dîmes contre une rente annuelle de 30 livres (BnF, Picardie 290, n° 114), pp.37-38

, Voir les actes de la journée d'étude L'ordre cistercien face aux crises de la fin du Moyen Âge, 2016.

É. Hautcoeur, , pp.83-87

D. E. Henri, L. Laplane, and . De-clairmarais-d, après ses archives, Saint-Omer, 1863 (Mémoires de la Société des antiquaires de la Morinie, 11), p. 194. La dissolution de la communauté, ruinée, fut envisagée en 1396, vol.17, p.671

, qui ne possédait plus que 24 francs, fut unie à celle de Blendecques (ibid, p.656

A. Lester, En 1396, l'abbé de Clairvaux fut chargé d'enquêter sur la demande des moniales qui souhaitaient s'installer définitivement dans une « belle maison » que leur avait donnée la ville, en raison de la démolition de leur ancien monastère, p.167

, Cette période est malheureusement très peu étudiée et les sources restent pour l'essentiel inédites. Voir Roger DE GANCK, « Les pouvoirs de l'abbé de Cîteaux, de la bulle Parvus Fons (1265) à la Révolution Française », dans Analecta Cisterciensia, t, vol.27, pp.49-73, 1971.

, En 1389 par exemple, l'abbé de Clairvaux obtint l'autorisation du chapitre général pour accorder des dispenses à toutes les moniales de sa filiation pendant huit ans, p.560

H. De and O. Laplane, , p.166

, abbé de Clairvaux agissait alors en tant que « visiteur général », en présence de l'abbé local de Clairmarais

K. André, , p.79

J. Canivez and . Statuta?, Cette mesure, qui était censée s'appliquer aussi aux monastères d'hommes, pp.36-41

A. Bondeelle-souchier, Les moniales cisterciennes et leurs livres manuscrits dans la France d'Ancien Régime », dans Cîteaux -commentarii cistercienses, t. 45, p.291, 1994.

J. Canivez and . Statuta?, , p.727

A. Bondeelle-souchier and O. , , p.291

C. Joseph-marie and «. Belleau,

, Les moines d'Igny s'y installèrent en 1460 mais ils laissèrent la place aux Claravalliens une douzaine d'années plus tard, vol.12, pp.1045-1046, 1953.

J. Canivez and . Statuta?, , vol.40, p.727

, De façon significative, trois d'entre eux au moins avaient été cédés par Clairvaux aux moniales, dont un antiphonaire et un lectionnaire. Ce dernier (Troyes, Médiathèque, 394), copié vers 1140-1150, est un témoin de la liturgie d'Étienne Harding ; les moines avaient donc remis aux religieuses un manuscrit dont ils n, pp.245-246

. Arch and . Dép,

J. Canivez and . Statuta?, n° 5) ; le déroulement du remplacement des dernières moniales par les moines d'Auberive a pu être reconstitué précisément par B. CHAUVIN, Vauxbons?, op. cit, pp.58-62, 1394.

A. Bondeelle-souchier and O. , , pp.294-307

J. Jobin, , pp.156-161

P. Ernest, En revanche, les deux abbayes féminines dépendantes de Molesmes, pp.15-17

O. Heriman-de-tournai, , pp.218-219

A. Grelois and . Humbeline-héloïse?, , pp.339-341

, Odon d'Ourscamp exprimerait la même idée une vingtaine d'années plus tard. Toutefois, la plupart des moniales blanches adoptèrent un mode de vie plus classique, alors que, parallèlement, les cisterciens eux-mêmes tempéraient progressivement l'application des principes énoncés dans les premiers statuta et dans le chapitre 15 du Petit exorde 163 . Ce furent désormais les dons mystiques de certaines femmes (comme de certains moines ou convers) qui retinrent l'attention, tout particulièrement la capacité à renseigner sur le status gratiae des individus 164 , mais aussi l'intelligence des Écritures, qualités déjà admirées chez saint Bernard. Clairvaux se retrouva ainsi au coeur d'un réseau couvrant les Pays-Bas, la Rhénanie mais aussi la Champagne, qui contribua à la réputation d, admirateur Hériman de Tournai qui écrivait vers 1147, il ne faisait aucun doute que ces religieuses avaient « rejoint avec fougue, de bon coeur et volontairement l'ordre de Cîteaux, vol.162

, Clairvaux ne joua sans doute qu'un rôle secondaire dans ce processus, dont l'initiative revint d'abord aux abbés de Cîteaux -qui, il est vrai, avaient souvent été auparavant supérieurs de Clairvaux (Guy de Paray, Conrad d'Urach) ou d'une de ses filles (Arnaud Amalric), et poursuivirent leur carrière au service de la papauté, comme cardinaux et comme légats. Si l'historiographie a beaucoup insisté sur le rôle du chapitre général pour des raisons d'accessibilité des sources, le rôle d'Innocent III, Il fallut cependant attendre le tournant des XII e et XIII e siècles pour que l'ordre définisse un statut officiel pour ses moniales

, Si Clairvaux semble avoir été en retrait dans un premier temps, l'abbaye saisit ensuite l'intérêt qu'elle avait à accroître le nombre de ses abbayes-filles (principalement entre Seine et Rhin) en profitant de la vague de fondations féminines, tant pour continuer de rivaliser avec Cîteaux que pour éviter l'apparition de pôles régionaux trop puissants dans sa propre filiation, ce qui était d'ailleurs conforme à l'architecture institutionnelle que Bernard avait donnée à celle-ci. Par ailleurs, en faisant de ses abbés-fils de simples délégués, Clairvaux anticipait sur l'évolution générale de l'ordre qui, à partir du XIV e siècle, adopta un fonctionnement accordant une part croissante aux réalités provinciales, tout en promouvant des vicariats de grande ampleur, principalement pour les premiers abbés. Pour les moniales, le rattachement à Clairvaux présentait l'avantage d'éviter les conflits d'intérêt qui surgissaient inévitablement avec un supérieur placé à la tête d'un établissement voisin, tout en apportant un surcroît de respectabilité. Cependant, le renforcement des pouvoirs de l'abbé-père durant la première moitié du XIII e siècle se fit au détriment de l'autonomie des abbesses et des moniales, ce qui explique la vigueur de la révolte de 1242-1243. Par ailleurs, L'idée d'un ordre submergé par la volonté des pontifes de trouver un débouché institutionnel au « mouvement religieux féminin » doit être cependant nuancée, comme le prouvent les initiatives des abbés de Villers, d'Aulne ou encore de Vaucelles, de Clairmarais ou de Heisterbach 165 pour permettre à des groupes de femmes de former des abbayes viables

O. Heriman-de-tournai, , pp.234-235

, Un cas exemplaire de l'esprit cistercien primitif et de son évolution : l'abbaye de Balerne et la propriété de l, pp.131-162, 1980.

D. Peter and . Nascita-e-funzione-della, dans Les fonctions des saints dans le monde occidental (III e -XIII e siècle), p.501, 1991.

S. Holger, B. , and D. Zisterzienserkloster, Heisterbach von seiner Gründung bis zum Anfang des 16, Jahrhunderts, Siegburg, pp.292-310, 1998.

, Alexis Grélois Index des monastères cités : L'Abbaye-Blanche

C. Argensolles-(marne, Avize, c ne de Moslins), abbaye cistercienne féminine (Clairvaux)

L. ,

. Andecy, abbaye bénédictine féminine (Molesmes)

, Aywières (Belgique), abbaye cisterciennes féminine (Aulne)

. Balerne, abbaye cistercienne (Clairvaux)

. Battant,

. Beaubec, , p.abbaye cistercienne

. Belleau, abbaye féminine puis prieuré cistercien masculin (Clairvaux)

. Benoîtevaux,

, Bingen (Allemagne), prieuré de bénédictines

. Bival, abbaye cistercienne féminine (Beaubec puis archevêque de Rouen)

, Blendecques (Pas-de-Calais, c. d'Arques), abbaye cistercienne féminine (Clairvaux)

L. Brayelle, Pas-de-Calais, c. de Lens, c ne d'Annay), abbaye cistercienne féminine (Cîteaux)

. Bussière, abbaye cistercienne féminine (Noirlac)

L. Cambre, Belgique), abbaye cistercienne féminine (Clairvaux)

. Cîteaux,

C. Clairmarais-(marne and . Et-c-ne-de-reims,

. Clairmarais, abbaye cistercienne (Clairvaux)

. Crisenon,

. Cuissy,

. L'épau, de Changé, c ne d'Yvré-l'Évêque), abbaye cistercienne (Cîteaux)

. Faverney,

. Fervaques,

. Flines,

. Foigny, abbaye cistercienne (Clairvaux)

. Fontenay,

. Jully,

, Heisterbach (Allemagne), abbaye cistercienne (Clairvaux)

, Herkenrode (Belgique), abbaye cistercienne féminine (Clairvaux)

, Himmerod (Allemagnei), abbaye cistercienne (Clairvaux)

, Hoven (Allemagne), abbaye de cisterciennes (Clairvaux)

L. Jardinet, Belgique), abbaye cistercienne féminine (Clairvaux)

S. Laon,

. Larrey, prieuré de bénédictines

, Las Huelgas (Espagne), abbaye cistercienne féminine (Cîteaux)

. Longuay, de Châteauvillain, c ne d'Arc-en-Barrois), abbaye cistercienne (Clairvaux)

. Loos, -6), abbaye cistercienne (Clairvaux)

. Marcigny,

. Marcilly,

. Maubuisson,

. Molesmes,

. Montreuil-les-dames,

, Morimond Obazine (Corrèze, c. du Midi corrézien, c ne d'Aubazines), abbaye cistercienne (Cîteaux)

. L'olive, Belgique), abbaye cistercienne féminine (Clairvaux)

. Ourscamp,

L. Paraclet,

. Paris, Pontigny (Yonne), abbaye cistercienne (Cîteaux)

. Port-royal,

. Poulangy, de Nogent), abbaye de bénédictines puis de chanoinesses

. Rievaulx, Royaume-Uni), abbaye cistercienne (Clairvaux)

. Royaumont,

. Saint-bénigne, Sermaize-les-Bains, c ne de Vitry-en-Perthois)

, Sankt Thomas an der Kyll (Allemagne), abbaye cistercienne féminine (Clairvaux)

. Savigny-(manche, C. Teilleuil, and . Ne-de-savigny-le-vieux,

. Schönau, abbaye bénédictine. Sempringham (Royaume-Uni), chef d'ordre. Tart

. Trois-fontaines,

L. Val,

. Val-des-vignes,

. Valence, abbaye cistercienne (Clairvaux)

L. Vaux-de-cernay, , p.abbaye cistercienne

. Val-notre-dame, Belgique), abbaye cistercienne féminine (Villers-en-Brabant)

. Vaucelles, du Cateau-Cambrésis, c ne des Rues-des-Vignes), abbaye cistercienne (Clairvaux)

. Vauxbons, Villegusien-le-Lac), abbaye cistercienne féminine puis prieuré cistercien (Auberive)

. Verdun, C. Saint-maur-(meuse, and . Et-c-ne-de-verdun, abbaye de bénédictines. Villers-Canivet

. Villers-en-brabant,

, Walberberg (Allemagne), abbaye cistercienne féminine (Clairvaux)

. Watton, Royaume-Uni), prieuré double (Semprigham)

. Woestine, abbaye cistercienne féminine (Clairvaux)

, Yerres (Essonne), abbaye de bénédictines