C. Friedrich-de and . Schiller,

. L'anconitaine, Bilora de Ruzzante ; Le désert des Tartares de Buzzati

. L'île-d'arturo-d'elsa-morante,

L. L'anecdote-de, . Storia, and . Célèbre, 14 Pour une excellente analyse de Conversation en Sicile, se rapporter à l'ouvrage d'Antonio di Grado, Il silenzio delle madri, Ed. del Prisma, 1980. volume, ce que le nombre d'erreurs de la traduction rendait peu sûr. 26 En italien : « (?) perché non prendi il treno e vai giù e le fai una visita ?, Elsa Morante détestait la traduction de Michel Arnaud et elle avait menacé Gallimard de changer d'éditeur si Arnaud était maintenu comme traducteur de ses autres ouvrages. 13 Ces lettres ont été regroupées in Gli anni del « Politecnico », p.573, 1945.

:. En-italien, . Mai-visto-un-cinese-?-»-«-certo, and . Mia-madre-disse, Ne ho visti due o tre? Passano per vendere le collane » (p. 647) devient en français « as-tu jamais vu un Chinois ? » « Bien sûr, dit ma mère

X. Au-chapitre, D. Aveva, and U. Finestra, e da quella finestra un po' di luce » (p. 640) est devenu « Elle avait, sur le derrière (sic), une fenêtre, et, par cette fenêtre, un peu de lumière filtrait, p.18

T. Vittorini, traduire surtout ce manifeste emblématique de son art qu'est Conversazione in Sicilia, c'est suivre les flux et les reflux d'une langue tantôt emphatique, tantôt sèchement allusive. Corriger son écriture dans le sens d'une prose normative et classique, ce n'est pas seulement s'éloigner d'un modèle, c'est surtout trahir un esprit. Si Michel Arnaud évite le plus souvent ce travers, sa traduction dérange tout de même l'amateur de l'univers vittorinien. Un peu comme si un air connu était exécuté avec quelques fausses notes