, , p.220, 1580.
, , 1435.
De la difficulté et de l'enjeu de leurs représentations en peinture », Rire à la Renaissance. Colloque international de Lille, Marie Madeleine Fontaine éd, vol.16, pp.163-179, 2010. ,
Il note également la proximité qu'il y a à peindre le rieur et le pleureur, soulignant la proximité de ces manifestations, Diego Vélasquez (1599-1660) et Bartolomé Esteban Murillo, pp.1617-1682, 1651. ,
, Nous avons écarté les scènes de genre, les scènes religieuses éclairées souvent par le tendre sourire de Marie, des Rois Mages ou la bouche rieuse d'un berger ; nous avons également exclu les compositions dans lesquelles plusieurs personnages sont réunis par une activité et dont le rire ou le sourire va témoigner du bien-être qu'elle procure : musique, jeux, cartes, boisson. Nous n'évoquerons pas non plus le recours à la mytholo
, Oficios y mercedes que recibió Velázquez de Felipe IV », Anales de Historia del Arte, vol.18, pp.111-139, 2008.
El retrato del bufón Perejón, Prado) et Alonso SáNCHEZ COELLO (Un enano sentado con libros) l'ont fait également et Ribera a peint la Femme à barbe, p.1631, 196127. ,
Nous renvoyons sur la réception de ce tableau à Manuela B. MENA MARQUÉS, « ¿El bufón Calabacillas?, l'artiste : le pouvoir d'en bas dans les peintures de Vélasquez », Image et Pouvoir. 4 e congrès international du GRIMH, vol.41, p.314, 1696. ,
José ORTEGA y GASSET, « Introduction à Vélasquez-1943 », in Ortega y Gasset, Vélasquez et Goya, trad, Selon Jerónimo de MORAGAS, « Los bufones de Velázquez», Medicina e historia, nov-déc, vol.106, p.6, 1639. ,
, Actes du colloque scientifique international sur Vélasquez aujourd'hui, vol.52, p.57, 2002.