H. Tanner and F. , Friends and Allies. Boulogne and Politics in Northern France and England, c. 879-1160, Leyde-Boston, 2004.

, Si du moins c'est bien le nom e[vstat]ivs qui apparaît au registre supérieur de la scène n° 55 : ce fragment de la tenture est fortement restauré

S. Harvey, . Eustace, and . Of-boulogne, The English and their Legacy, 900-1200. Essays in honour of Ann Williams, the Crisis of 1051-2 and the English Coinage », dans D. roffe (dir.), pp.149-157, 2012.

G. Guillaume-de-poitiers and . Guillelmi, , vol.II, p.182, 1998.

. Asc-d, 1052 (recte 1051), éd. cit., p. 70. , et aucun commandement régional ne lui a été confié, même de manière purement titulaire

N. Hooper and . Edgar, AEtheling (b. 1052 ?, d. c. 1125) », dans ODNB ; id, Edgar the AEtheling: Anglo-Saxon Prince, Rebel and Crusader, vol.14, pp.197-214, 1985.

, Vita AEdwardi regis, I, 2, éd. cit, pueros, qui ex ipsius regis genere dicebantur, pp.24-25

. Eadgar, , pp.120-122

S. Baxter, , pp.98-103

». Confessor?, observe que ce détail ne prouve pas la marginalisation d'Edgar, car il supposerait une forte continuité, qui n'est pas réellement prouvée, des usages diplomatiques depuis le règne d'AEthelred II ; de fait, les diplômes existants sont eux-mêmes en nombre trop réduit pour tirer des conclusions fermes à ce sujet, p.120

M. Le-bon, S. Exilé, and . Et-beorn-estrithson, Il faudrait peut-être y ajouter le futur empereur Henri III, veuf depuis 1038 de Gunnhild, soeur d'Harthacnut, fille de Cnut et de la reine Emma : en 1041-1042, leur unique fille Béatrice, alors âgée de 4 ou 5 ans, était encore « disponible » pour transmettre ses éventuels droits sur l'Angleterre et le Danemark à un futur époux, puisque ce n'est que l'année suivante qu'elle devint abbesse des monastères royaux de Gandersheim et de Quedlinburg ; Henri mourut en 1056, On pourrait citer dès cette époque plusieurs des personnages déjà mentionnés, pp.405-420, 2002.

B. Sur-cette-«-institution-», . Yorke, . Council, M. King's-»,-dans, and . Lapidge, L'étude la plus complète à ce jour porte sur le siècle précédent : L. roaCH, Kingship and Consent in Anglo-Saxon England, Assemblies and the State in the Early Middle Ages, pp.164-167, 2001.

, qui promettait quant à lui d'être pour eux un « bon seigneur » et de maintenir les lois de ses prédécesseurs : Guillaume lui-même allait se prêter à ce rituel lors de son couronnement à la Noël 1066, Les grands du royaume juraient fidélité au nouveau roi, p.3, 2007.

, Ce processus de négociation et de reconnaissance pouvait d'ailleurs impliquer, comme le suggère J. r. MaddiCott, « Edward the Confessor's Return, pp.664-666

G. Guillaume-de-poitiers and . Guillelmi, « neque id absque suorum optimatum consensu, vol.II, pp.120-121

. L'historicité-de-cet-Épisode-reste-discutée, , p.108

D. Bates, William the Conqueror, pp.24-67
URL : https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-00931354

, 260 et 517, sur le sense of entitlement de Guillaume : celui-ci n'avait pas le sentiment d'avoir acquis son royaume à l'issue d'un compromis, mais bien en raison de son « droit » -droit hérédi-taire, droit dérivé de la promesse de son prédécesseur, et bien sûr droit de conquête. Résumé Harold, Harald, Guillaume et les autres : prétentions et prétendants à la succession d'Édouard le Confesseur (1042-1066). -Les événements de l'année 1066 en Angleterre sont souvent ramenés à une compétition entre les trois principaux candidats à la succession du roi Édouard le Confesseur. En réalité, À condition, bien entendu, qu'il fût assez souple pour jouer le jeu : or la souplesse et le sens du compromis n'étaient probablement pas les qualités premières du duc Guillaume de Normandie, pp.51-80, 2009.

S. Jayakumar, «. Eadwig, and E. , Politics

. Edgar, King of the English 959-975, New Interpretations, pp.3-58, 2008.

E. King and K. Stephen, , pp.30-39, 2010.