, Jérôme de Gramont souligne cette impossibilité de comprendre le sujet éthique comme pure identité à soi dans une synthèse saisissante : « Humilié, révélé ; dépouillé, rendu à sa tâche la plus propre -le sujet (éthique) ne tire donc tout son être que de l'appel de la loi, c'est-à-dire du double fait de le recevoir et de se l

L. Hors-de-cette-intrigue-Éthique-inaugurée-par-le-fait-de and . Loi, archi-fait) le sujet ne saurait prétendre à l'être, et ce qui pourrait passer pour simple précepte de moraliste (la dénonciation de l'amour-propre) doit aussi être interprété de manière radicale comme l'impossibilité pour le sujet d'être par soi-même, d'être comme substance, au titre de cette parfaite identité à soi d'un Je tirant jouissance et satisfaction de son être propre, p.68, 2014.

L. Voir-jérôme-de-gramont and L. Peeters, , pp.74-75, 2014.

, OEuvres philosophiques tome 2, p.704

. Voir-cicéron, Il faut être exempt de toute passion de l'âme, du désir et de la crainte aussi bien que de la peine, du plaisir et de la colère pour que viennent en l'âme la tranquillité et l'assurance qui apportent avec elles constance et dignité », trad. Les Stoïciens, Bibliothèque de la Pléiade, Traité des devoirs I, vol.69, p.166, 1962.

X. I. Voir-la-cité-de-dieu, « La raison regarde ce qui apparaît de vrai à la lumière de l'esprit

, la volupté voit ce qu'il y a d'agréable et de flatteur pour les sens ». Bibliothèque augustinienne tome 35, DDB, pp.83-85, 1959.

, Voir ici toutes les analyses de Répondre. Figures de la réponse et de la responsabilité, p.161, 2007.