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justifiait ainsi ce choix : « Le martèlement du mot, lancé par les ondes, répandu sur les feuilles imprimées, exploité par toutes les publicités, finissait par assourdir. Étions-nous intoxiqués par le tintement d'une boîte vide, ou au contraire le mot contenait-il quelque chose ?, vol.334, p.1, 1965. ,
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, Le Monde titrait « Une révolution scientifique : les Américains lancent leur première bombe atomique sur le Japon » et la presse française était unanime pour saluer les perspectives ouvertes par la « libération » de la puissance de l'atome. Pour une revue de presse de l'époque, voir Hiroshima, la bombe, La Documentation française, Le Monde publiait un article intitulé « L'ère atomique » dans lequel on pouvait lire : « Comme les grands spécialistes qui savent mieux que les autres apaiser les inquiétudes, il, 1945.
, Curie] a montré, science à l'appui, que nous pouvons aborder l'ère atomique avec confiance
Mais cet effroyable engin de guerre ne doit pas compromettre l'avenir de l'énergie nucléaire. Le plus sûr moyen de courir à la catastrophe serait d'arrêter le développement de la science, p.34, 1997. ,
Et si je suis désespéré, que voulez-vous que j'y fasse ?, p.93, 2001. ,
Russie), plus de 4 300 km 2 ont été déclarés « zone d'exclusion », où les agglomérations ont été évacuées et toute activité agricole interdite ,
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, Jacques Ellul avait pointé que la transformation du milieu naturel en un milieu artificiel entraînerait la difficulté ou l'impossibilité de la symbolisation, p.51, 2004.
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, Sur ce point, on pourra se reporter à la partie intitulée « Construire la mémoire de Tchernobyl ?, G. Grandazzi et F. Lemarchand (dir.), Les silences de Tchernobyl. L'avenir contaminé, vol.230, pp.119-155, 2004.
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