. Giddens-a, Les Conséquences de la modernité, 1994.

. Duclos-d.-;-l'année-sociologique, Puissance et faiblesse du concept de risque, vol.46, pp.309-337, 1996.

, Voir la communication de F. LEMARCHAND, Enjeux et limites d'une pédagogie du risque, Actes JIES XXII, 2000.

L. S. Cité-par, La Mégamachine. Raison technoscientifique, raison économique et mythe du progrès, p.146, 1995.

J. , Le Désir de catastrophe, 1990.

. Janicaud-d, Il ne nous est pas possible, dans le cadre de cette communication, de développer davantage cette question, aussi renverrons-nous à l'oeuvre de Jacques Ellul, pp.23-36, 1990.

, « Questions de santé mentale que pose l'utilisation de l'énergie atomique à des fins pacifiques », Organisation Mondiale de la Santé, 1958.

, OMS en 1993 et destinée à la population victime de la catastrophe de Tchernobyl : Tchernobyl : aide de l'Organisation Mondiale de la Santé pour l'Ukraine. Rappelons qu'il existe un accord signé entre l'OMS et l'AIEA (Agence Internationale pour l'Énergie Atomique) qui interdit à l'OMS de diffuser des informations susceptibles de nuire à l'utilisation pacifique de l'atome. Voir aussi l'évaluation réalisée par la CRII-RAD du matériel pédagogique sur la radioactivité, p.10

C. M. Voir, Des différentes formes de démocratie technique, Annales des Mines, pp.63-73, 1998.

, À propos de la recherche effectuée dans les zones contaminées par la catastrophe de Tchernobyl, voir le rapport du LASAR, Vivre dans les zones contaminées. Gestion du risque radiologique, 1998.

C. Européennes, G. Projet, and M. /. Lasar, Vivre en zone contaminée ou : les paradoxes de la gestion du risque

, Nous ne développons volontairement pas ici plusieurs éléments exposés de façon plus détaillée dans la communication de F. Lemarchand, op. cit