H. Meschonnic, Critique du rythme, p.83, 1982.

, On notera qu'il exagère la précipitation des enchaînements de répliques (l'adverbe « aussitôt » ne rend pas leur agencement filmique : le récit (la mémoire ?) prend une liberté d

L. Agrandissement, , p.46

H. Meschonnic, Critique du rythme, p.83, 1982.

L. Agrandissement, , p.117

. Idem,

, Il expose d'autre part que raconter, c'est d'abord lire et élire : sélectionner, omettre, construire, bref : interpréter. Cette « ré-écriture » à laquelle donne lieu la scène du film est orientée par la cause métaphysique de Mauriac. S'il la déforme légèrement, c'est pour entamer, à distance, de biais, un dialogue intérieur avec Parain et Godard qui achève Le Dialogue intérieur. La série d'essais romanesques suivante confirmera, par son titre, Les Infiltrations de l'invisible, ce qu'indique le récit intéressé de Bertrand Carnéjoux : l'espérance en une voix métapsychique qui compenserait la voie vide de la métaphysique, Le récit du chapitre 11 de Vivre sa vie est éloquent