, 3) qui, comme le souligne Marini, la confond avec une tuile Cette confusion est due sans doute au fait que les deux inscriptions suivantes, chez Doni, sont des tuiles. 27 L'origine ligorienne de ces inscriptions est signalée par Gudius pp. 79, 80 e 81, L'origine ligorienne est indiquée dans le corpus de Doni (cl. II n. 144) et chez Muratori L'inscription est transmise également par Doni, cl. II n. 140. Voir Tab. IX. 32 Je me permets de renvoyer à L'épigraphie : un aspect méconnu de l'histoire de la philologie classique au XVII e siècle, pp.89-115, 2000.

O. Servili, F. Macedoni, . Ex-pr-t-statili, and . Severi, 34 Marini avait également acquis une expertise paléographique qui l'avait fait finalement hésiter à considérer comme autographe la copie de l'inscription dans le Vat. lat. 3439. 35 MArINI, Iscrizioni doliari cit., p. 368 n. 1286 : « Nel museo capitolino, Questa conobbe per certo il Ligorio ma lessela nella maniera che segue : Q. SERVILI. FORTVNATI. MACEDONIA

E. Pr, /. T. Statili, . Maximi, and . Mvneri, 36 Voir la note au n. 46. 37 Libro di m. Pyrrho Ligori napolitano, delle antichità di Roma, nel quale si tratta de' circi, theatri, et anfitheatri. Con le paradosse del medesimo auttore, quai confutano la commune opinione sopra uarii luoghi della città di Roma in Venetia, per Michele Tramezino, 1553. 38 o. pANVINIus, De ludis circensibus libri duo, p.23

A. Nibby-qui-invoquera,-sur-la-foi-de-ligorio, la fausse inscription n. 4 de Tivoli pour dater à 123 p. C. n. la construction du théâtre de l'académie (PETO ET APRONIANO COS Q. OPPI. VERI. / IVSTI. OP. DOL. DELIC. D

N. Acad, Hadrien 39 Grâce aux tuiles inscrites, Marini identifia également, dans la petite publication de Ligorio sur les cirques 40 la source des livres De ludis circensibus de Panvinio 41 ; ce faisant, il nous indiquait la voie à suivre pour approfondir les rapports de dépendance entre les deux auteurs, bien au-delà de l'épigraphie ; en effet, de récents travaux 42 ont montré que les De ludis circensibus, mais également d'autres ouvrages imprimés attribués au moine augustin, qui le rendirent célèbre dans le domaine de l'antiquariat, constituent l'un des canaux de diffusion les plus importants de l'oeuvre iconographique de Ligorio, et notamment de ses dessins autographes perdus aujourd'hui. 39 A. NIBBy, Analisi storico-topografico-antiquaria della carta dei dintori di et 702. À la même période, Henry Fynes Clinton publie la fausse inscription n. 5 de Tivoli dans son édition des Fasti romani : The civil and literary chronology of Rome and Constantinopole from the death of Augustus to the death of Justin II, De ludis circensibus cit. 42 Je renvoie à s. ToMAsI VELLI, Gli antiquari intorno al circo romano : riscoperta di una tipologia monumentale antica Annali della Scuola Normale Superiore di Pisa, classe di lettere e filosofia s. 3° et J.-L. FErrAry, Onofrio Panvinio et les antiquités romaines, pp.700-701, 1990.