Imaginaire poétique de la danse
Abstract
Alors qu'au XVIIIe siècle, le danseur est vu comme un acteur, au XIXe siècle, la danse doit incarner la psyché. La danseuse en devient alors l'incarnation privilégiée, sous la forme dématérialisée de la sylphide, du fantôme et de la défunte. Ce texte s'appuie sur le fonds iconographique de la Bibliothèque-Musée de l'Opéra, où l'auteur a été chargé de recherches documentaires (CRD) pendant 4 ans, de 2006 à 2010.